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19 décembre 2011

Activité de colocs: Maison en pain d'épices

Je me suis acheté une super trousse de maison en pain d'épices, la dernière chez Métro à CDN. Je l'ai vue de loin, mais j'ai aussi remarqué le petit garçon qui était planté devant et qui demandait à son père de la prendre. Dans ma tête, la bataille! D'un côté "touche pas à ma maison, touche pas à ma maison" et de l'autre je me disais que j'étais bien égoïste de vouloir priver un petit garçon d'un aussi beau cadeau. Heureusement pour moi, son père était de mon bord. Pas de l'égoïsme finalement, juste le destin!

Et puis j'ai partagé ce fabuleux moment avec Maude, ma coloc. C'est-ti pas ça, l'esprit des fêtes, hein?!?!

La maison en pain d'épices from Sarah Pisanu on Vimeo.

29 janvier 2008

Mousse de chocolat blanc au thé vert: c'est avec du tofu, alors, les végétaliens sont les bienvenus!

Ça y est, je ne peux plus m'arrêter. Mon fridge est rempli de petits flans et je me mets tout de même à préparer un autre petit dessert rapido presto. Pour qui??? Pour quoi??? Mais pour moi, voyons! Ne me dites pas: Puz, tu penses pas avoir assez de dessert comme ça??? Et je vous répondrais: Mais non, pardi! On n'a jamais assez de dessert!!! Et vous me direz: Puz, feras-tu double shift de yoga demain pour compenser tout ça??? Et je vous répondrais: ... En fait, je ne vous répondrais rien du tout, puisque je serais partie à la course pour éviter qu'on me ramène ma gloutonnerie sous le nez. Voilà.

Mais puisque vous n'en avez rien à faire de mes conversations hypothétiques, je vais plutôt vous expliquer comment m'est venue l'idée de faire ce petit dessert. Un bon matin, je me suis réveillée, affamée, sans le moindre crouton de pain à me mettre sous la dent, sans la moindre vieille brioche assèchée à grignoter. Dans ma boîte froide il n'y avait qu'un paquet de tofu soyeux dont je ne savais que faire. Dans le garde manger, un restant de chocolat blanc, vieux souvenir d'une recette manquée (je ne mange jamais de chocolat blanc directos, comme ça, bien trop sucré ... yeuhh) et dans ma petite armoire aux herbes, un petit pot de poudre verte, bien légale, qu'on appelle macha, ou matcha, comme vous préférez. J'avais déjà vu un chef, à une émission au Food Network, faire une mousse au chocolat à base de tofu, mais c'était du chocolat noir, et je n'avais aucune idée des quantités utilisées. Suite à de nombreuses erreurs, j'en suis venue à trouver les proportions parfaites pour mes papilles gustatives et, dans un élan de grande et gratuite générosité, je vous en fait part.

Mousse au chocolat blanc et au thé vert

1 paquet de 500 g de tofu soyeux extra-ferme (je préfère travailler avec celui là, ça fonctionne avec les autres tofus soyeux, mais la texture s'en verra modifiée)
220 g de chocolat blanc, à base de soya pour les végétaliens
1 cuil. à thé de matcha (si vous aimez VRAIMENT le goût du matcha, vous pouvez mettre une cuillérée comble)
quelques gouttes d'essence d'amande (une petite fantaisie)

Je me rends compte que je suis pratiquement incapable d'énoncer des ingrédients sans user des parenthèses. Ohhh, ça doit faire mon charme je suppose... hein???

Alors on sort son robot culinaire. Je n'ai jamais essayé avec un autre appareil, faites m'en part si vous vous lancez. On met le tofu dans la machine et on part le tout, pour un bon petit bout de temps. De temps en temps, la spatule se fera aller sur les parois du bol de plastique pour être certain de ne rien manquer. Le tofu doit devenir hyper lisse, comme une crème fouettée. En suite, on fait fondre le chocolat au bain-marie, doucement, tranquillement, avec beaucoup d'amour. Puis on verse le chocolat dans le robot, ainsi que le thé vert, et on repart, la spatule toujours prête à travailler. Pendant que ça roule, on introduit l'essence d'amande.

On verse dans les plats à service et on réfrigère le tout, quelques heures. J'aime les servir avec des petits biscotti.

Ça vous donnera 6 portions raisonnables ou 4 portions pour gloutons.

Une portion pour moi! Mais non, je blague.

...

Trêve de plaisanterie, j'ai une petite question pour mes amis de Blogger. J'aimerais bien que les commentaires s'affichent automatiquement sous mes posts, sans que les gens aient à cliquer sur un onglet. J'ai bien cherché comment faire, sans succès. À l'aide...

Souvenir allégé du Costa-Rica: Flan à la noix de coco

Il y a exactement un an, j'étais couchée sur le sable au Costa-Rica, à Playa Hermosa, dans le Guanacaste, avec un livre de John Irving dans les mains, le corps beurré de crème solaire FPS 50, l'autoroute des iguanes à deux pas de ma serviette de plage. Dans une demie-heure environ, je serais partie pour le petit resto qui donnait sur la mer, pour me commander un grand fresco de guanabana et un flan de coco. Le verre était immense, et bien bien fresco, le flan était sucré et chaud du soleil centraméricain. Là-bas, ils font leur flan avec du lait condensé, ce qui lui donne une agréable onctuosité et un potentiel hypoglycémique assez élevé. Je l'ai essayé plusieurs fois, pour des occasions spéciales ou juste pour m'accompagner au lit. Mais c'est définitivement trop riche pour être préparé tous les jours.

C'est pourquoi j'ai décidé d'essayer cette petite recette que j'ai trouvée dans mon livre de cuisine thaï, que je modifie selon ce que j'ai dans le garde-manger (lit ou crème, sucre ou sirop d'érable...). Je n'ai qu'à fermer les yeux, et j'entends à nouveau les vagues, le cri des singes, et le brouhaha des enfants.

Flan de coco léger

1 boîte de lait de coco de 400 ml
3 oeufs extra gros, légèrement battus
4 cuil. à soupe de sucre
4 cuil. à soupe de noix de coco en copaux

Aussi simple que mélanger tous les ingrédients dans un bol, la noix de coco inclue (je préfère la noix de coco dans mon flan que simplement saupoudrée sur le dessert, comme le suggère l'auteure du livre). J'ai mis la préparation dans 4 ramequins, les 4 ramequins dans un plat allant au four, avec de l'eau chaude jusqu'aux trois-quarts, et le plat allant au four, et ben dans le four, à 350 F pour une trentaine de minute. Quand on insère un cure-dent, celui-ci doit ressortir en laissant un trou dans le flan, si le trou se referme, c'est qu'il est encore liquide.

J'aime aussi faire ce dessert avec de la crème de coco plutôt que du lait, un peu plus riche, sans dépasser les bornes. Vérifier par contre si celle-ci est sucrée, ce qui arrive souvent. Dans ce cas, on omet le sucre!

Et si vous vous demandez ce qui a atterri sur mon flan, c'est ... heu... une tentative de praliné au sésame... Je ne vous donne pas la recette.

....

On me demande la recette originale, la costaricienne, alors pour ceux qui veulent se payer une petite douceur bien riche, je vous la transcris ici. Elle est tirée d'un petit bouquin qu'une dame m'a donné là-bas, dont je scannerai la couverture dès que le foutu scan fonctionnera. En attendant, voici les ingrédients tels qu'indiqués, enfin, l'espagnol en moins. (Okay, ça y est, le scan fonctionne)

Flan de coco comme au Costa-Rica

1 boîte de lait condensé
1 boîte de lait évaporé ( c'est ici que j'ai appris qu'il s'agissait de deux choses différentes)
1/2 tasse de sucre
1/2 tasse de lait
1/2 tasse de noix de coco fraîche, râpée
6 oeufs (on ne spécifie pas la taille)

Mélanger tous les ingrédients dans un mélangeur électrique pour 3 minutes (pour Puz, c'est au robot). Verser dans un pyrex, lui même placé dans un bain-marie. Cuire au four à 350F pour 45 minutes ou jusqu'à ce qu'un couteau en ressorte propre. Laisser refroidir.

Donne 12 portions.

Voilà! J'espère que vous allez aimer.

12 janvier 2008

Souvenirs de voyage

Entre deux musées, une randonnée sur un volcan et un souper avec des amis d'un autre continent, je profite de mes voyages pour faire de fabuleuses découvertes gastronomiques. Quel bonheur de découvrir à deux minutes de mon auberge la plus délicieuse chocolaterie ou la plus enivrante distillerie!

Cet automne, j'ai passé quelques semaines en Hollande et au Danemark, à gambader de ville en ville, à flâner de boutique en boutique, émerveillée des différences et ressemblances de ce monde qui font de l'être humain une entité complexe et charmante. À Amsterdam, je demeurais sur le Kloveniersburgwal (contente de ne pas avoir à le prononcer cette fois-ci), à 5 minutes de marche de la gare centrale, et, à mon grand bonheur et désespoir, à deux minutes d'une minuscule chocolaterie, Puccini Bomboni, caverne resplendissante aux mille et une bouchées gourmandes: des rochers au coeur de carmamel croquant, des ganaches alcoolisées (mes préférées, ai-je besoin de spécifier?). Oh la la, le premier soir, j'en ai acheté 4, les ai toutes dévorées et suis retournée le lendemain dire à la dame qu'ils étaient cruels de créer d'aussi diaboliques choses, que j'en avais rêvé toute la nuit et que, S'il-vous-plait, j'allais en prendre encore 4. Et un gratuit, gracieuseté de la dame. Vous pouvez voir de magnifiques photos de l'endroit ici, pas mes photos, j'étais trop gênée de sortir mon appareil...

Cependant, je n'aime pas que le chocolat. Étonnant, j'en conviens, mais les bonbons me font autant saliver. Vous êtes la bienvenue chez Papabubble, là où on prépare vos bonbons devant vos yeux. On peut en effet, à la boutique même, les observer rouler les rouleaux de sucre, troncer les tronçons, et on peut toujours essayer de ne pas baver sur le plancher, mais ça reste difficile. On voudrait tout prendre, tout acheter, on se retient un peu puis, on se laisse aller...

Au Danemark, j'avais mes propres points de repère, mais "runners" qui me donnaient une certaine constance, comme si je vivais là-bas, comme si j'y avais pignon sur rue. Chaque jour, j'allais prendre mon café au même endroit, une chaîne de librarie/café où je faisais semblant de fouiner les rayons de bouquins en danois pour ensuite aller me prendre mon espresso allongé, m'assoir à une table au bord de la fenêtre et lire mon roman, en anglais. Ensuite, je me baladais en ville, et m'évanouissais devant toutes les franchises de Frellsen Chokolade. J'y trouvais d'immenses triangles de praliné chocolaté, noir ou au lait, des confections de marzipan, qu'on me donnait dans des petits sacs de papier, parfaits pour marcher tout en se "bourrant la face". J'en ai rapporté à Montréal, et mes amis et moi, nous nous sommes empiffrés en souvenir de nos escapades respectives. Comme c'est bon de voyager, même en restant chez soi!

C'est ainsi que, à tous mes voyages, je reviens ici les bras chargés de confections amusantes qui me permettent de revisiter ces endroits magnifiques, à table. Que pourrais-je faire de bibelots et autres attrapes-touristes quand je peux aller dans les épiceries du coin faire le plein de saveurs nouvelles ou eéconfortantes. Il me reste encore des flacons de confiture du Costa-Rica, des bonbons, ma super Salsa Lizano: chaque bouchée me renvoie sur la plage ou sur un volvan, au resto Pescado Loco de Playa Hermosa ou au petit pub charmant de Liberia. Je ne peux rien demander de mieux!

9 juin 2007

Midnight Snack: Humm... encore du chocolat


Quand on est rendu à bouffer des brownies au chocolat à minuit, a-t-on un problème??? J'espère que non, car je viens de découvrir la recette parfaite pour le brownie parfait, certainement un futur "runner" en Poozanie. Avec sa tonne de cacao et son chipotle excitant, je ne dormirai pas avant 4h00 du mat. Tanpis. C'est bon.

Je suis tombée sur une recette de Emeril Lagasse pour un brownie avec chipotle, mais la base de brownie manquait un peu de décadence. Alors j'ai choisi une autre recette qui convenait un peu plus à mes fantasmes chocolatés. J'ai remplacé le mascarpone par du Philadelphia, le sucre par de la cassonade foncée et j'ai ajouté un peu de chipotle en poudre, enfin, beaucoup de chipotle ... Mon petit plaisir masochiste, du choco qui brûle.....



Okay, il manque quelque chose...



On dirait du fudge, Jeez, tellement c'est dense et somptueusement riche. Si je pouvais manger cela trois fois par jour, sans manquer de me boucher les artères pour de bon, je serais comblée.

...

Mon extase devant de petites merveilles culinaires me laisse parfois perplexe, comme s'il devait y avoir une raison derrière cela, un traumatisme ancien qui expliquerait ma fascination pour tout ce qui se transforme en merveilles comestibles. Ma mère n'était pas bonne cuisinière. En fait, elle ne cuisinait presque pas. Mais de temps en temps, pour nous faire plaisir, elle prenait des zucchini, un peu de farine, des oeufs, du sucre, du beur....de la margarine et produisait magiquement un cake tout simple, mais tellement spécial. Nous avions rarement droit à du dessert au domaine familial, alors même un gâteau aux légumes me transportait de joie. Et c'était délicieux, c'était un passage du charbon au diamant, de la verdure fade à la plus savoureuse des pâtisseries. Et comme tout enfant qui ne comprend absolument rien aux vraies choses de la vie, mon cake en main, j'aimais un peu plus ma mère de m'avoir donné autre chose que du végé-pâté.

Chaque fois que je cuisine, j'essaie d'aborder le tout ainsi: dans chaque zucchini se trouve un petit bijou à réveler. Pas de connaissance ou de grandes techniques requises, seulement l'envie de faire plaisir aux autres, et de se faire plaisir aussi.

Merci mouman.

5 juin 2007

En quête de la truffe parfaite: Truffe Gingembre et Wasabi



Ceux qui ne sont pas fous du chocolat, vous pouvez arrêter de lire de suite. Allez lire mes affichages précédents. Moi, je suis complètement malade, passionnément amoureuse, obsessivement mordue de chocolat. Le cacao doit être l’ingrédient le plus important dans mon garde-manger : je l’adore évidemment nature, dans les sucreries, mais aussi dans les mole (sauce mexicaine à base de chile et de cacao) sur les viandes, dans les mélanges d’épices sur les grillades … Une journée sans chocolat, c’est sans aucun doute une mauvaise journée.

Je connais des gens qui n’aiment pas le chocolat. Je veux les croire, mais c’est dur … Le cacao fait partie de la nourriture des dieux, avec l’huile d’olive et … je ne sais pas … la cardamome … non, la tomate! Humm…. huile d’olive… tomate …. bruschetta ….

Revenons au chocolat. C’est un des aliments les plus intéressants de l’histoire des êtres humains. Je vous conseille d’ailleurs un livre écrit par deux anthropologues, une étude archéo-ethno-historique de la cabosse fabuleuse : The True History of Chocolate par Sophie D. Coe et Michael D. Coe. Les deux auteurs, anthropologues de formation, ont un talent pour la vulgarisation, alors n’hésitez pas à vous lancer dedans.



Pour les paresseux, j’en ferai un résumé dans quelque temps.

Mais c’est bien beau de lire sur le cioccolato, c’est encore mieux de le manger. Et pour en manger, on peut l’acheter. Trop simple, je suis une femme de défi (heuuu). Disons que, cette fois-ci j’ai eu envie de tester mes capacités de chocolatière et de me lancer à la recherche de la meilleure truffe, de la truffe parfaite, de la truffe paradisiaque, ou mortelle pour les tendancieux masochistes.

En flirtant avec le net, je suis tombée sur plusieurs combinaisons gustatives intéressantes, sous forme de gâteau, de mousse, de chocolat chaud et de chocolats moulés ou en truffe et m’en suis inspirée pour créer ma première recette toute simple: 5 ingrédients, simple ganache et trempage, rien de mieux pour commencer ma quête.

Commençons par les ingrédients :

Pour la ganache :
250 ml de crème 35 %
225 g de chocolat mi-amer (j’ai décidé de prendre un 64% pour qu’il y ait assez de sucre pour balancer le brûlant des deux autres ingrédients – d’habitude j’utilise du 75%)
1,5 cuillère à soupe de jus de gingembre
¾ de cuillère à thé de pâte de wasabi



Pour l’enrobage :
gingembre confit
150 g de chocolat mi-amer (j’ai utilisé le même que pour la ganache)



Pour le jus de gingembre, j’ai râpé un tronçon de gingembre de 10 cm environ, j’ai ensuite pressé cette pulpe dans un tamis pour en extraire le jus. Nul besoin de se préoccuper de l’écorce, elle ne traversera jamais le tamis. J’y ai de suite mélangé la pâte de wasabi : je ne voulais pas me ramasser avec une ganache avec des petits « pouets » de wasabi un peu partout. Non non non, je veux une ganache lississime.

J’ai chauffé la crème en essayant de ne pas la faire déborder de rage. Difficile. Oupps… okay, il me reste de la crème, je réessaie. Bon! On verse ensuite sur le chocolat. Le mien était déjà en petites pastilles, autrement, il faut absolument le couper en petit morceau, ou mieux, le râper. Une fois le tout bien mélanger, j’ai ajouté mon jus de gingembre/wasabi. Et là je dois me retenir pour ne pas engloutir la ganache en trois cuillérées. Difficile. Oupps…. Non c’est une blague. Je n’ai fait que goûter pour vérifier … l’assaisonnement.



Et maintenant, je dois attendre que la ganache fige.

...

C’est long.



Peut-être 15 minutes encore.



Voilà! Là, on baisse le chauffage si ce n’est pas déjà fait, on se met tout nu, pour avoir bien froid et pour que nos mains soient glaciales. Non, pas de photo. Et on roule. Je ne suis pas une adepte de la perfection pour l’apparence (malheureusement peut-être) alors une forme conique, oblongue, ou indescriptible me convient tout à fait. On ne va pas y passer la nuit. Une fois toutes mes « boulettes » formées, je me suis dit qu’il valait mieux les mettre quelques minutes au fridge avant de passer à l’enrobage, la ganache ayant ramolli un peu au contact de mes mains. Pendant ce temps, je fais fondre les 150 g de chocolat au bain-marie et je coupe mon gingembre confit en petite lanière. Je passe à l’étape finale, la récompense approche. Je deviens nerveuse et impatiente. Trempe, dépose, gingembre, dépose, trempe, dépose, gingembre, dépose…. J’en ai 33 comme ça.

Je vous présente le résultat avant de vous faire part de mes commentaires.






Étonnamment, la truffe n’est pas du tout piquante, enfin, par pour mon palais. On goûte le wasabi, et le petit morceau de gingembre confit rehausse la saveur du jus dans la ganache, mais le tout reste subtil. Moins intimidant pour les traditionalistes, peut-être un peu décevant pour les aventureux. Demain, je teste le tout sur des cobayes.